Wednesday, April 11, 2012
JE SUIS UM MOULIN ABANDONE
Je suis un moulin à l’abandon
Sur un terrain boueux
Dans le paysage désolé
Mon amour s’en est allé
Fatigué des temps d’avant
La solitude est toute à moi
Les voiles déchirent souvenirs
Révélant vérités crues
Que le vent chante en passant
Dans le cœur du moulin
Pleure encore tout doucement
La graine de cet amour
Dans l’amertume de ce pain
A la chaleur de ma main
Je prie le vent de m'apporter
Cet amour si désiré
Par le monde condamné
A être germe non né
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Georgino de Sausa
Je suis un moulin à l’abandon
Sur un terrain boueux
Dans le paysage désolé
Mon amour s’en est allé
Fatigué des temps d’avant
La solitude est toute à moi
Les voiles déchirent souvenirs
Révélant vérités crues
Que le vent chante en passant
Dans le cœur du moulin
Pleure encore tout doucement
La graine de cet amour
Dans l’amertume de ce pain
A la chaleur de ma main
Je prie le vent de m'apporter
Cet amour si désiré
Par le monde condamné
A être germe non né
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Georgino de Sausa
TUNNEL DE MELANCOLIE
Par mon tunnel de nostalgie
Douloureux à parcourir
Je vais finir dans le cœur
Qui ne trouve point de raison
Pour faire un tel voyage
Continuelle tentation
De parcourir si sombre voie
Sans savoir à quoi s'attendre
Dans un cœur à insister
La raison de cette quête
Perdu dans l'obscurité
En constant va et vient
Cet amour ne guérira plus
C'est une forme de folie
N’avoir l’amour de personne
Je reviens sur le chemin
Je veux revenir à la lumière
Car je sais que je ne trouverai pas
De raison pour traîner
La nostalgie sur une croix
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Jaime Santos
Par mon tunnel de nostalgie
Douloureux à parcourir
Je vais finir dans le cœur
Qui ne trouve point de raison
Pour faire un tel voyage
Continuelle tentation
De parcourir si sombre voie
Sans savoir à quoi s'attendre
Dans un cœur à insister
La raison de cette quête
Perdu dans l'obscurité
En constant va et vient
Cet amour ne guérira plus
C'est une forme de folie
N’avoir l’amour de personne
Je reviens sur le chemin
Je veux revenir à la lumière
Car je sais que je ne trouverai pas
De raison pour traîner
La nostalgie sur une croix
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Jaime Santos
ETRANGE FORME D’ÊTRE
J'appartiens au vent violent
A une triste pensée
D'un Dieu qui m'a créé
D’une étincelle perdue
Qui éteinte par la vie
M'a transformé en cet être
Je suis revenu pour souffrir
Dans une étrange forme d'être
Sans bien savoir ce que je suis
Je serai mélange de folie
Et de raison qui te recherche
Quand tu es où je ne suis pas
Je t’ai confié mon âme
Je t’ai abandonné mon corps
Il ne me reste que la voix
J’ai la forme de la nostalgie
Je suis mémoire de vérité
Ombre estompée de nous
Dans mon fado je prie le vent
Qu’il t’apporte cette plainte
Ecrasé par la solitude
Je vais donner forme à un autre être
Je veux appartenir à la terre
Pour vivre à jamais à tes côtés
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Jose Antonio Sabrosa
J'appartiens au vent violent
A une triste pensée
D'un Dieu qui m'a créé
D’une étincelle perdue
Qui éteinte par la vie
M'a transformé en cet être
Je suis revenu pour souffrir
Dans une étrange forme d'être
Sans bien savoir ce que je suis
Je serai mélange de folie
Et de raison qui te recherche
Quand tu es où je ne suis pas
Je t’ai confié mon âme
Je t’ai abandonné mon corps
Il ne me reste que la voix
J’ai la forme de la nostalgie
Je suis mémoire de vérité
Ombre estompée de nous
Dans mon fado je prie le vent
Qu’il t’apporte cette plainte
Ecrasé par la solitude
Je vais donner forme à un autre être
Je veux appartenir à la terre
Pour vivre à jamais à tes côtés
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Jose Antonio Sabrosa
CALICE DU PARDON
Ma douleur est un couvent
Plein d'ombres dedans
Où le soleil ne veut pas rentrer
Ombres faites de toi
Silhouettes que j’ai sculptées
Sans la lumière de tes yeux
Les parois froides et nues
Cachent que tu me manques
Le clair de lune vient me le montrer
Dans le temple tu es prière
Mon calice de rédemption
De ne vivre que pour t’aimer
Passent nuits passent jours
Les cloches doublent l’agonie
Que le vent gémit pour moi
Dans ce couvent où je vis
Je prie, chante, crie et pleure
Nul ne sait que c’est pour toi!
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Gomes Acacius
Ma douleur est un couvent
Plein d'ombres dedans
Où le soleil ne veut pas rentrer
Ombres faites de toi
Silhouettes que j’ai sculptées
Sans la lumière de tes yeux
Les parois froides et nues
Cachent que tu me manques
Le clair de lune vient me le montrer
Dans le temple tu es prière
Mon calice de rédemption
De ne vivre que pour t’aimer
Passent nuits passent jours
Les cloches doublent l’agonie
Que le vent gémit pour moi
Dans ce couvent où je vis
Je prie, chante, crie et pleure
Nul ne sait que c’est pour toi!
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Gomes Acacius
AMOUR D'UNE SEULE HEURE
A pieds nus je parcours les rues à travers la nuit
Marchant, marchant sans arrêt
Où es-tu ô mon amour d'une seule heure
Où es-tu pour que je te serre cotre moi
Cette douleur qui me parcourt à chaque instant
Ne demande à la terre au ciel que ton étreinte
Je ne suis rien, je n'ai plus rien dans ce monde
Mon amour, sans ton amour, ton réconfort
Je crie au vent par ton nom en solitude
La nuit pleure notre amour à tout jamais
Des larmes jaillissent des pierres sur le sol
Où es-tu mon grand amour, amour absent
Je ne t’atteins pas, ne me trouve pas et désespère
Je vais retourner à la liberté non désirée
Rattaché au monde où je ne fais que de t’attendre
Sans amour, sans ton nom, sans avoir rien
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Alfredo Joiner
A pieds nus je parcours les rues à travers la nuit
Marchant, marchant sans arrêt
Où es-tu ô mon amour d'une seule heure
Où es-tu pour que je te serre cotre moi
Cette douleur qui me parcourt à chaque instant
Ne demande à la terre au ciel que ton étreinte
Je ne suis rien, je n'ai plus rien dans ce monde
Mon amour, sans ton amour, ton réconfort
Je crie au vent par ton nom en solitude
La nuit pleure notre amour à tout jamais
Des larmes jaillissent des pierres sur le sol
Où es-tu mon grand amour, amour absent
Je ne t’atteins pas, ne me trouve pas et désespère
Je vais retourner à la liberté non désirée
Rattaché au monde où je ne fais que de t’attendre
Sans amour, sans ton nom, sans avoir rien
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de Alfredo Joiner
J’AI EU UNE VIE JE L’AI QUITTEE
Je suis le fils de la pleine lune
Du soleil enfant bâtard
J'ai eu une vie, je l’ai quittée
N'ayant jamais été aimé
Je suis comme la mer déchainée
Qui tue et détruit tout
Par mon manque de courage
D’accepter ce qui me fait mal
Je suis la flamme du feu
Je suis le vent, le tout, le néant
Je suis l’abîme qui clame
Ton absence prolongée
Je suis âme qui flambe
Assoiffée de vengeance
La bouche que nul ne baise
La voix qui ne t'atteint pas
Je suis la fumée de la chandelle
Qui s’éteint dans ce fado
J'ai eu une vie je l’ai quittée
Car je ne fus jamais aimé
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de "Fado Corrido" DR
Je suis le fils de la pleine lune
Du soleil enfant bâtard
J'ai eu une vie, je l’ai quittée
N'ayant jamais été aimé
Je suis comme la mer déchainée
Qui tue et détruit tout
Par mon manque de courage
D’accepter ce qui me fait mal
Je suis la flamme du feu
Je suis le vent, le tout, le néant
Je suis l’abîme qui clame
Ton absence prolongée
Je suis âme qui flambe
Assoiffée de vengeance
La bouche que nul ne baise
La voix qui ne t'atteint pas
Je suis la fumée de la chandelle
Qui s’éteint dans ce fado
J'ai eu une vie je l’ai quittée
Car je ne fus jamais aimé
Paroles de Gonçalo Salgueiro / Musique de "Fado Corrido" DR
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